Cliquez ici pour visionner le webinaire étape 1 : le traitement manuel des données.
Pour bien des PME en Suisse romande, nous ne sommes qu’au début du chemin de la maturité data. Pourtant, un usage éclairé des données en entreprise est un vrai moyen de générer de la performance.
Ces 10 dernières années ont vu les 5 premières places du classement mondial des capitalisations boursières – historiquement dominées par les compagnies gazières et pétrolières – détrônées par les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft). Le point commun de ces 5 champions: la maîtrise de la donnée et du chemin de la maturité pour y arriver.
Si les multinationales ont adapté leurs plans stratégiques pour laisser place à davantage de numérisation, les petites & moyennes entreprises progressent lentement, mais sûrement. Il n’empêche, toutes les organisations professionnelles, privées comme publiques, sont concernées. Suite à l’étude réalisée auprès de 340 entreprises en France, l’Observatoire de la Maturité Data des Entreprises (OMDE) classait ces 3 principaux freins à l’exploitation des données parmi les résultats publiés en novembre 2022 :
- manque de temps (52% des répondants)
- manque de connaissances/compétences en interne (46%)
- manque de budget/financement (24%)
Voyons comment vous faire gagner du temps avec une vision stratégique de la maturité data dans notre série d’articles et de webinaires à venir.
La maturité data en 5 étapes
Notre modèle de maturité se déroule en 5 étapes, d’un niveau de base à une maturité data complète:
- Le traitement manuel des données
- Tableaux de bord à disposition
- Quand les données racontent (enfin) notre histoire
- L’émergence de l’intelligence
- L’organisation transformée
Commençons par le commencement.
Etape 1 – Le traitement manuel des données
À ce stade, des collaborateurs travaillant dans différents départements d’une même organisation créent une à plusieurs versions de document chacun, le plus souvent sur un tableur. Cette approche manuelle manque de cohérence et fait perdre du temps à justifier comment certains chiffres ont été calculés, au lieu de comprendre ce que les données ont à dire.
Voici un classique du genre: les responsables des ventes font régulièrement part de leurs frustrations concernant le traitement manuel des données. Les commerciaux génèrent leurs propres feuilles de calcul pour suivre l’évolution des clients et de leur commission, selon les performances obtenues. En temps voulu, ces chiffres seront également partagés avec leur chef d’équipe.
Les chefs d’équipe extraient quant à eux des rapports auxquels l’équipe sur le terrain n’a pas accès, pour analyser les performances de leurs commerciaux. Ils regroupent les informations utiles, puis préparent des présentations qu’ils envoient à leurs directeurs régionaux. Ces derniers font exactement la même chose: ils examinent les performances de leurs districts, génèrent manuellement un set des données, des visualisations, puis envoient le tout aux responsables nationaux. Et ainsi de suite… jusqu’au sommet de l’organisation.
Pour résumer:
- Les reportings manuels font perdre du temps, de l’efficacité et comportent un risque d’erreur humaine.
- Un tableur comme Excel ou Numbers ne gère pas la gouvernance ni la distribution des informations au sein des équipes d’utilisateurs.
- Pour avancer sur le chemin de la maturité data, le désalignement sur les sources de données utilisées et leur qualité doit être résolu.
La data, source de vérité
Ce portrait d’entreprise vous est familier ? Notre prochain webinaire est fait pour vous: la data y sera abordée comme SPOT (Single Point of Truth) à atteindre sur le chemin de la maturité. Rendez-vous jeu. 16 mars entre 11h30 et 12h00 avec Théodmir Donnet, BI Consultant, et Martin Hannart, Senior Business Development Representative chez Calyps. Cliquez ici pour visionner le webinaire étape 1 : le traitement manuel des données.
Cliquez ici pour accéder à l’article suivant étape 2 : du Tableur au Dashboard.