Comme tant d’autres espèces, Homo sapiens n’aime pas le changement. Au fil du temps, il a pourtant su s’adapter à son environnement comme nul autre avant lui, de l’âge de pierre à l’ère post-industrielle.
Par extension, les personnes dites « morales » prônent souvent un changement de comportement auprès de leurs clients, mais peinent à se réorganiser lorsque leur situation l’exige… Entre l’été 2020 et janvier 2021, la PME Calyps s’est soumise à un exercice de remise en question, avant de concrétiser définitivement sa transformation et de communiquer sa mission.
De l’alchimiste en données à la transformation digitale
Avec l’avènement d’Internet, les données sont devenues le » pétrole du XXIe siècle » et restent au cœur de la transformation numérique qui s’opère dans notre monde globalisé.
Depuis plus de vingt ans, Calyps œuvre pour une utilisation équitable des informations issues des données. En 2017, une intelligence artificielle (IA) développée par sa jeune équipe de data scientists en est devenue la suite logique. Appliquée à l’écosystème médical, puis à l’éducation (2020) et à la finance (2021), l’IA apporte un tribut : des données transformées en véritables informations exploitables. Une transmutation qui rappelle celle des alchimistes du Moyen Âge, qui voulaient transformer le plomb en or.
En Europe, à la suite de la Renaissance du 12e siècle, née de la traduction d’ouvrages islamiques médiévaux sur la science et de la redécouverte de la philosophie aristotélicienne, les alchimistes ont joué un rôle important dans les premières sciences modernes telles que la chimie et la médecine*.
En tant que matière grise d’un nouveau genre, le potentiel de l’IA va au-delà de la zone d’influence des décideurs qui valident un projet de données. En effet, l’exploitation de la qualité de vie au travail (QVT) est le nouvel or recherché par les alchimistes des données qui travaillent chez Calyps. Sa nouvelle mission en dit long :
Rendre les données utiles aux organisations et à leurs individus
la valeur de cette matière grise n’a de sens que si elle est partagée avec les employés.
Soulager la charge mentale
Michael Page Suisse annonçait le 13 février 2021**
« De janvier 2020 à janvier 2021, cinq catégories d’emplois clés se distinguent : le service à la clientèle (+13%), l’immobilier (+12%), la santé et les sciences de la vie (8%), l’informatique (+6%), le contrôle financier & la comptabilité (+5%). »
Une grande majorité d’équipes souffre de COVID-19, la récession due à un ralentissement de l’activité, une réorganisation de l’équipe, quand elle ne subit pas un surcroît imprévu d’activité. A titre d’exemple, le docteur Hugo Flayac, responsable de la recherche chez Calyps, a détaillé dans cet article comment il règle la tension (ou le stress) au sein d’un hôpital. Au-delà du taux d’activité, la charge mentale telle qu’elle est vécue par tout employé détermine son niveau de stress.
Parmi les valeurs de Calyps, une valeur importante laisse du temps et de l’espace aux perceptions pour se révéler : l’ouverture d’esprit. L’équipe est composée d’origines, de cultures, de compétences et d’idéaux différents. Chacun accepte ces différences et ne porte pas de jugement. La vérité est constituée de nombreuses facettes, dont chacune est essentielle pour prendre la mesure de l’ensemble. Poursuivre cette quête malgré les obstacles et les doutes, quel changement orchestré !
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